Fly par Ced ;)

MONTES LE SON !!
 
 
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La free mérite qu'on se batte pour elle .............
Tekos tres bien ficellé et géré... pas de réquisition de terrains d'agriculteurs, un site prope,
du smile & une taille humaine même si pas de grosses façades, une super ambiance sur not'
avec des ping-pong alsace-bretagne toute la nuit de dimanche à lundi ;) Mechant live d'H2O
& Ola au mic' ;).... Une reunion des sounds chaque jour pour agir dans le même sens... un
depart en convoi massif pour ne laisser personne sur le site...
Que du bon sous le soleil & les éoliennes de l'Aines!

Peut-etre pas assez de temps pour discuter, déambuler
, gérer le peu emmené mais nous
n'étions pas venus en masse, ce coup là.

Evidament il ne faut pas s'attendre à ce que ça se refasse d'années en années, c'est aussi
ça la force de ces actions; elles ne sont pas récurentes forcément. Il y avait un contexte,
fort bien exploité.

REZISTANCE


"Le teknival sauvage des insoumis "
Dans la nuit de vendredi, près de 1.500 « teufeurs » ont établi leur campement à La Clé des Champs à Clastres. Plus de 100 gendarmes ont été mobilisés pour empêcher l'accès à cette rave party illégale.

« ON profite des élections pour boycotter le Sarkoval de Metz », s'exclame Cyril, 24 ans, venu de Loire-et-Cher. Hier, en début d'après-midi, il était assis le long de l'une des routes bloquées par des escadrons de gendarmes mobiles. Il faisait partie d'une vingtaine de jeunes qui attendait sur ce chemin pour pouvoir entrer sur le site du teknival « sauvage », organisé sur une ancienne base de l'Otan, La Clé des Champs, située à Clastres, près de Saint-Quentin.
« Vers 2 heures du matin, le site était annoncé. Le but était d'arriver le plus vite possible pour ne pas être bloqué », indique Raphaël, 30 ans, originaire de Nantes, qui a pourtant roulé toute la nuit, « trois rendez-vous avaient été fixés : à Auxerre, Charleville-Mézières et Paris. »
Ceux qui sont arrivés dans la nuit ont pu s'installer sans difficulté, après avoir forcé le grillage.
Les premiers gendarmes, alertés vers 2 heures du matin, peu après l'arrivée des véhicules de son et de logistique, étaient trop peu nombreux pour déloger les quelque 1.500 personnes. « Personne ne s'y attendait », relate Roland Renard, président de la Communauté de communes du canton de Saint-Simon, propriétaire du site.
Accès bloqués
Des gendarmes, venus ensuite en renfort, ont permis de limiter l'impact de cette organisation non autorisée.
Plusieurs escadrons de gendarmerie mobile, les brigades de la communauté et le groupement départemental étaient assistés par l'hélicoptère survolant la zone qui s'étend sur plus de 200 hectares. Plus d'une centaine de gendarmes ont été mobilisés pour une opération anti-teknival sauvage. Tous les accès, qu'ils soient à Clastres, Séraucourt-le-Grand, Artemps ou Essigny-le-Grand, ont été bloqués, ne laissant passer que les véhicules des riverains. Hier, en début de soirée, les « teufeurs » se sont résignés à laisser leur véhicule sur le bord de la route et à marcher sur plusieurs kilomètres à travers champs ou le long des chemins pour rejoindre la rave-party.
« On a eu l'autorisation du maire de Clastres pour rester jusqu'à mardi », expliquait, hier soir, Martin, l'un des animateurs de Sound System.
Seuls quatre murs de son ont été montés sur une piste de l'ancien aérodrome occupée par les teufeurs. « Ici, c'est petit. Il y a beaucoup d'amateurs. On ne concurrence pas le Teknival de Toul-Rosières (Meurthe-et-Moselle). On n'offre pas la même chose. »
Hier en fin d'après-midi, ils devaient être, malgré tout, plus de 2.000 visiteurs venus danser sur de la musique techno. L'affluence sur le site pouvait doubler, voire tripler dans la nuit.
Cécile Leclercq


http://archives.lunion.presse.fr/cgi/union_handle?artid=/dep/20070429.UNA8848.html


La chouette rave des « Insoumis »
La rave party illégale s'est tenue sans embûche. La nuit de samedi, près de 2.000 visiteurs ont fait la fête.
Avec ce parfum de liberté, ils se sont donnés aux sons techno.


LA nuit tombée, samedi, quelque 1.800 teufeurs occupaient La Clé des Champs de Clastres dans une ambiance de fête.
Sur une piste de l'ancienne base de l'Otan, isolée par près d'un kilomètre des habitations, au milieu des champs, les fêtards se sont adonnés aux sons et aux rythmes de la techno, oubliant les blocages avec les forces de l'ordre. En fin de journée, les militaires ont assoupli le dispositif anti-teknival illégal préfectoral et ont laissé passer les teufeurs pour qu'ils puissent se rendre à pied sur la fête techno. Place donc à la rave party !
« Il y a moins de son que prévu. Certains devaient venir, mais ils se sont rendus au Teknival de Meurthe-et-Moselle », racontait une « Insoumise » qui avait vécu cette absence comme une pure trahison. Le groupe n'est pas si solidaire. Peu importe, l'esprit est à la fête ! Surtout un samedi soir.
« Il y a plus de monde que tout à l'heure », s'estimait satisfait Martin, qui servait des frites et de la bière, dans la nuit de samedi, « il n'y a pas de dealer. Ils sont tous là pour faire la fête. Tout se passe bien. »
Les produits stupéfiants ne se vendaient pas à la criée, contrairement à d'autres teknivals. Dans leur coin, certains fumaient malgré tout tranquillement, assis par terre, un petit joint. Les pompiers, qui avaient monté un petit poste de contrôle à proximité avec un médecin, ont assuré, sur toute la nuit, seulement quatre transports à l'hôpital pour des faits sans gravité : des malaises et des blessures par chute.

Sans trop de monde ni trop de sons
Dans le noir, à la lueur des jongleurs de bâtons en feu, des bougies, lampes de poche et des cinq murs de son, lançant des lumières aveuglantes, les fêtards se sont déhanchés, riant et criant sans retenue.
« On peut s'amuser sur quelques sons. On n'a pas besoin de 250 sons. Le principal, c'est qu'ils soient bons. Et là, ils sont bons », raconte, les yeux brillants, une participante, déjà prête à continuer la fête jusqu'au dernier jour, ce mardi.
« Une teuf d'enfer », commente un jeune homme, « les gens sont venus ici parce que le site est plus proche de Paris et de Lille. D'autres sont arrivés parce que le teknival n'est pas autorisé. Chacun avait ses raisons ».
Un preneur de son, claironnant de sombres paroles dans le micro, s'est jeté à l'eau, scandant « antisarkozy » sur les rythmes de basse, tel un leitmotiv. De la pure provocation ? Cela y ressemblait, surtout qu'il se trouvait à proximité de la caméra de télévision.
Les jeunes sifflent, hurlent et rient, partageant le même délire. Dans l'insouciance de la soirée, les teufeurs s'échangent des tuyaux pour pouvoir entrer sur le site avec leurs voitures, indiquent leurs emplacements pour dormir, se revoir.
Beaucoup étaient déjà prêts à remettre ça, hier soir. Mais pour combien de temps encore ?
Cécile Leclercq


Parmi les teufeurs de la rave party improvisée à Clastres, il y en a qui ont du courage. En béquille, l'un d'entre eux était très déterminé et se lançait pour une marche d'à peu près un kilomètre avant d'atteindre la fête. « C'est loin ? », demande-t-il au Bouffon. Difficile de le rassurer : le jeune homme n'était pas au bout de ses peines. Un fêtard qui n'était pas soumis aux politiques, ni aux caprices de son corps.

http://www.lunion.presse.fr/dep/20070430.UNA9497.html?0823

27/04/2007

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Une rave sauvage près de Saint-Quentin
Une contre-fête a été organisée à Clastres (Aisne) pendant le très officiel Teknival de Toul en Meurthe-et-Moselle

L'idée était de revendiquer une certain liberté et une certaine improvisation dans l'organisation de la fête.
Quelque 10.000 à 20.000 personnes devaient être attendues mais finalement, les teufeurs n'auraient été qu'environ 2.000 à Clastres.

Par ailleurs, il y avait eu des fuites à propos du lieu de rendez-vous car policiers et gendarmes étaient également présents sur place et les contrôles étaient quasiment systématiques lorsque les teufeurs voulaient rejoindre le lieu de rendez-vous.

Certains ont réussi à zigzaguer dans les champs pour éviter les contrôles mais dans l'ensemble les forces de l'ordre ont veillé à ce que rien ne dégénère. La soirée s'est déroulée sans incident et la fête, qui Source: FRANCE3

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AFP - dimanche 29 avril - 18h27
Rave-party sauvage dans l'Aisne.

1.500 à 2.000 personnes étaient regroupées dans la nuit de samedi à dimanche
sur une ancienne base aérienne de l'Otan à Clastres, près de Saint-Quentin, dans l'Aisne,
en dépit d'un arrêté préfectoral interdisant ce type de manifestation.

1000 personnes participaient encore dimanche à cette rave-party.

Les "teufeurs" se sont introduits sur le site dans la nuit de vendredi à samedi,
avant que la gendarmerie ne détecte leur présence et interdise tout accès au site.
Des appels avaient été lancés sur internet pour l'organisation d'un "teknival des insoumis",
entre le 27 avril et le 1er mai, "dans un rayon d'environ 200 kilomètres autour de Paris".
Ses promoteurs affirment s'opposer à la "politique de gestion des masses sur les événements les plus médiatiques"
et réagir à l'organisation, autorisée et encadrée, du Teknival.


SUR LE WEB

Photos 70NL
|| Edition regionale du Jt Picardie


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